Et puis il y a ce dernier repas au Lorenzini de Berne, avec Peter, l'Ami de toujours, depuis toujours et pour toujours. La gentillesse, la générosité personnifiées, l'as des fourneaux, le confident, le compagnon fidèle dans les meilleurs comme dans les mauvais jours. Le déchirement est profond, mais je sais que nous nous retrouverons, et pourquoi pas dans notre bistrot à Pékin.
Gratin dauphinois, carré d'agneau, jardinière de légumes, bombe glacée ... ça c'était il y a une semaine, chez Charly, le papa de Peter, un autre cuistot de talent. Faudra courir les rues de Pékin pour trouver des aînés aussi fins gourmets que lui.
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